LA
PROMESSE
DE
DIEU
FAITE
À
ABRAHAM
Avec
notre seconde illustration,
nous
allons
considérer
la merveilleuse
promesse que
Dieu fit à Abraham.
Dieu
dit au
fidèle
patriarche:
«Je
bénirai ceux
qui
te
béniront,
mais je maudirai
ceux qui
te maudiront.
A
travers
toi,
je
bénirai
toutes les nations
de
la
terre.
»
(Genèse
12
:
3)
La
race humaine
avait,
alors,
été soumise à
la mort depuis
environ
deux mille
ans.
La promesse de Dieu
constituait
donc
un
rayon
d’espoir.
Plus
tard,
alors qu’Isaac,
le fils
d’Abraham
avait grandi,
Dieu demanda à
Abraham de l’offrir
en
sacrifice. L’obéissance d’Abraham est représentée
dans
notre
seconde illustration.
Dieu,
cependant, ne
laissa
pas
Abraham sacrifier
son fils
mais, à la place
d’Isaac,
il
lui
fournit
un
bélier.
Ceci représente
le
fait qu’avant que
toutes les
familles de
la terre puissent
être bénies
par Abraham,
le
Père
aimant devait offrir
son Fils
bien-aimé
en
sacrifice.
Au fur et
à mesure que le plan de Dieu se révèle à
nous, nous comprenons que c’est le Père
Eternel qui, de lui-même, a offert son
unique Fils engendré pour être le
Rédempteur et le Sauveur du monde. (Jean
3:16) Dieu fut tellement satisfait de la
bonne volonté d’Abraham de coopérer
avec lui qu’Il confirma sa promesse
originelle par un serment. (Genèse 22
: 16 à 18; Hébreux 6 : 13 à 20)
JÉSUS,
LA
«
DESCENDANCE
»
PROMISE
Dans le Nouveau Testament,
nous apprenons que la descendance
promise à Abraham qui devait bénir
toutes les familles de la terre est,
en fait, Christ. En effet, l’apôtre
Paul écrivit : « Or les promesses ont
été faites à Abraham et à sa
descendance. Il n’est pas dit : et aux
descendances, comme s’il s’agissait de
beaucoup ; mais il s’agit d’une seule
: et à ta descendance, qui est le
Christ.» (Galates 3 : 16)
Dans le magnifique plan de
Dieu pour bénir toutes les familles de
la terre, Jésus est le canal désigné
par lequel toutes les promesses de
bénédictions seront répandues sur tous
les hommes, y compris ceux qui étaient
morts et qui auront été rendus à la
vie. En effet, la mort étant
intervenue à cause du péché, c’est
grâce au sacrifice de Jésus que les
hommes pourront revivre.
Aussi, Jean le Baptiste dit,
concernant Jésus : « Voici l’agneau de
Dieu, qui enlève le péché du monde.»
(Jean 1 : 29). Dans le livre d’Esaïe,
nous lisons également, à propos de
Jésus, qu’il était : «semblable au
mouton qu’on mène à l’abattoir» et que
Dieu a fait de lui: « un sacrifice de
réparation» (Esaïe 53 : 7,10).
L’apôtre Paul dit aussi que Jésus «
s’est donné lui-même en rançon pour
tous : c’est le témoignage rendu en
son temps. » (I Timothée 2 : 3 à 6)
Ce grand travail de rachat de
l’humanité s’est accompli au Calvaire.
Le concept de la rédemption est
expliqué par l’apôtre Paul lorsqu’il
dit : « Car, puisque la mort est venue
par un homme, c’est aussi par un homme
qu’est venue la résurrection des
morts. En effet, comme tous meurent en
Adam, de même aussi tous seront rendus
vivants dans le Christ. » (I
Corinthiens 15 : 21,22)
Nous voyons ainsi
l’importance de la mort de Jésus dans
le plan de Dieu pour bénir toutes les
familles de la terre. Les bénédictions
promises seront révélées après la
résurrection des hommes. La mort de
Jésus et sa résurrection garantissent
le retour à la vie des humains sur
terre où ils rece-vront des
bénédictions. (Actes 17 : 30,31)
LA
CRUCIFIXION
UN
AUTRE
ASPECT
IMPORTANT
Si nous n’avions pas de plus
amples informations concernant le plan
de bénédictions de Dieu, nous
penserions, naturellement, que le
travail de bénédictions aurait dû
commencer juste après la mort et la
résurrection de Jésus. Nous savons que
cela n’a pas été le cas. Les hommes
ont continué et continuent de souffrir
et de mourir autant qu’avant la venue
de Jésus. Nous trouvons, dans la
Bible, l’explication de ce fait. La
raison en est que Dieu a prévu de
constituer un «petit troupeau» de
fidèles disciples du Maître,
sélectionnés parmi tous les humains et
qui, lorsque le temps de bénédictions
sera venu, seront associés à Jésus
dans le travail d’instauration de la
paix et de dispense de santé et de vie
aux hommes.
Dans l’épitre aux Galates 3 :
27 à 29, nous comprenons que les vrais
chrétiens sont constitués de ceux qui
sont baptisés en Christ et qu’ils font
partie de « la descendance promise,
héritiers selon la promesse ». Le
travail de sélection de cette classe a
commencé il y a presque vingt siècles
et se poursuit encore.
A ces fidèles, Jésus a promis
de leur préparer une place dans les
cieux et, à son retour, de les prendre
auprès de lui afin qu’ils puissent
régner avec lui. (Jean 14 : 2,3) Jésus
dit également à ces mêmes fidèles : «
N’aie pas peur, petit troupeau ; car
il a plu à votre Père de vous donner
le Royaume. » (Luc : 12 : 32)
Une longue chaîne de
promesses, que l’on trouve dans
l’Ancien Testament et qui se poursuit
dans le Nouveau Testament, nous révèle
que Dieu va établir un gouvernement
mondial et que ses promesses de
bénédictions s’étendront à tous les
peuples. Dans l’une des promesses
concernant la naissance de Jésus, nous
lisons d’ailleurs que Jésus va : «
Etendre la souveraineté, accorder une
paix sans fin. » (Esaïe 9 : 6)
Nous remarquons, dans les
Ecritures, que si Jésus est venu sur
terre pour souffrir et mourir pour
l’humanité, il revient pour mettre en
place son Royaume et bénir les hommes.
Durant ce temps de la seconde présence
de Jésus, en tant que puissant
souverain ou «Roi des Rois», le monde
connaîtra enfin le vrai Dieu et une
occasion lui sera donnée d’obéir aux
lois divines et de vivre à jamais.
(Apocalypse 19: 16) En constatant
l’accomplissement, de nos jours, des
prophéties bibliques, nous avons toute
raison de croire que nous sommes très
proches de ce temps messianique béni.
Le prophète Daniel parle de ce temps
comme « le temps de la fin » et
indique qu’à ce moment, la
connaissance augmenterait. (Daniel
12 : 4)
L’expression « temps de la
fin » ne signifie pas la fin de tout.
Cette expression ne se rapporte pas
non plus à la croyance commune de
consumation de la terre. En fait, il
s’agit de la fin du règne du péché et
de la mort. C’est le moment où Dieu
interviendra dans les affaires des
hommes grâce à l’établissement de son
royaume. Tous les maux, tels que les
guerres, la famine, les maladies et la
mort seront éradiqués.
LA
TERRE
SUBSISTERA
TOUJOURS
En ce qui
concerne
la terre, nous
trouvons
dans la
Bible,
l’affirmation
claire
que
la terre ne
sera pas
détruite
mais
qu’elle subsistera toujours.
(Ecclésiaste 1
:
4) Le Seigneur certifie qu’il
n’a
pas créé
la terre en
vain
mais qu’il
l’a
formée
pour être
habitée.
(Esaïe 45
:
18) Comme nous
l’avons
vu,
le plan
de Dieu est de faire que
l’homme vive à jamais sur terre. C’est, en
effet, la demeure de l’homme. La race
humaine ne sera pas effacée mais
rendue à la vie lors de la
résurrection.
Quand la question du moment
de son retour fut posée à Jésus, le
Maître répondit : « Alors il y aura
une grande détresse, telle qu’il n’y
en a pas eu depuis le commencement du
monde jusqu’à maintenant, et qu’il n’y
en aura jamais plus » et que : « Si
ces jours-là n’étaient abrégés,
personne ne serait sauvé, mais à cause
de ceux qui ont été choisis ces
jours-là seront abrégés. »(Matthieu 24
: 21,22) De nos jours, nous pouvons
relever la présence de la situation
dont parlait Jésus mais nous savons
aussi que le temps de détresse sera
écourté afin que tous les hommes ne
périssent pas.
NOTRE
TEMPS
DANS
LES
PROPHÉTIES
L’essentiel du développement
de notre monde moderne a été prédit
dans les prophéties de la Bible. Nous
pouvons, par exemple, mettre en relief
l’accroissement de la connaissance
annoncé par le prohète Daniel. Notre
illustration représente bien ce fait.
La plupart des éléments
représentés dans l’illustration
n’existaient pas avant le vingtième
siècle. Le développement des
technologies s’est accéléré
brutalement de nos jours. Ceci
correspond à l’accomplissement de la
prophétie concernant l’approche du
Royaume de Christ.
Le prophète Daniel a aussi prédit que
le «temps de la fin » serait un «
temps un temps de détresse tel qu’il
n’y en a pas eu depuis qu’il existe
une nation. » (Daniel 12 :1) La «
grande détresse » dont parle Daniel
est la même que celle à laquelle Jésus
fait référence en Matthieu 24 : 21,22.
Jésus dit aussi que durant ce temps il
y aurait : « une angoisse des nations
qui ne sauront que faire au bruit de
la mer et des flots » et que « les
humains rendront l’âme de terreur dans
l’attente de ce qui surviendra pour la
terre habitée.» (Luc 21: 25,26)
Nous pouvons reconnaître, dans ce qui
précède, une frappante description de
ce qui arrive de nos jours. Toutes les
nations sont dans la détresse et la
peur de ce qui pourrait arriver monte
au cœur des hommes. Nous ne trouvons
pas, dans la Bible, des précisions
concernant les destructions qui
surviendront sur la terre avant que
l’autorité instaurée du Royaume de
Christ, ne sauve les
humains de leur propre folie.
Cependant, dans la Bible,
nous trouvons l’indication claire que
l’égoïsme humain et toutes ses
conséquences, comme l’exploitation de
l’homme par l’homme, seront détruits.
Notre dernière illustration représente
les hommes qui recherchent les
bénédictions de Dieu ; qui ont tourné
le dos à ce qui reste des égoïstes
institutions humaines et qui ont le
regard tourné vers l’âge à venir.
LA
CITÉ
DE
DIEU
Dans l’illustration, nous
voyons, au loin, la forme d’une ville:
la cité sainte de Dieu. Ceci, bien
sûr, est symbolique. Dans la Bible,
une ville représente un gouvernement.
Ainsi, par exemple, nous pouvons
parler de « Washington » pour faire
référence au gouvernement américain.
Il en est de même dans la Bible et
particulièrement dans le livre de
l’Apocalypse où nous lisons qu’ « une
ville sainte» descend des cieux,
d’auprès de Dieu. Cette ville
représente le nouveau gouvernement de
Dieu dont la tête sera le Christ
Jésus. (Apocalypse 21 : 1 à 5)
En effet, Jésus avait dit à Pilate : «
Ma royauté n’est pas de ce monde.»
(Jean 18: 36) Le Royaume de Jésus
n’est donc pas d’origine humaine mais
vient de Dieu. Ce royaume n’est pas
institué par la sagesse et la
puissance de l’être humain déchu. Il
s’agit d’un gouvernement divin et ses
lois sont des lois divines. En
obéissant à ces lois, les humains
seront bénis et ceci correspond à
l’accomplissement de la promesse que
Dieu avait faite à Abraham de bénir
toutes les familles de la terre par sa
« descendance ».
Les bénédictions contiendront
celle de la destruc-tion de la maladie
et de la mort. Nous trouvons la
description de la situation qui
prévaudra, à ce moment-là, dans le
livre de l’Apocalypse où nous lisons,
concernant les humains, que Dieu : «
essuiera toute larme de leurs yeux, la
mort ne sera plus, et il n’y aura plus
ni deuil, ni cri, ni douleur, car les
premières choses ont disparu. »
(Apocalypse 21 : 4) Dans une autre
promesse concernant le royaume et ses
bénédictions, nous pouvons remarquer
que le royaume est représenté par « le
trône de Dieu et de l’Agneau » duquel
sort un fleuve d’eau de la vie.
(Apocalypse 22 : 1). Sur les deux
bords du fleuve, il y a un arbre de
vie produisant douze récoltes et
donnant son fruit chaque mois. Les
feuilles de l’arbre sont pour la
guérison des nations. (Apocalypse 22 :
2) En vérité, les hommes de toutes les
nations ont grand besoin d’être guéris
! Cette magnifique bénédiction sera
bientôt répandue sur toute l’humanité.
Ainsi, alors qu’Adam et Eve ont été
chassés du jardin d’Eden pour qu’ils
ne puissent plus se nourrir de l’arbre
de vie, les humains, durant le
Royaume, auront de nouveau accès à
l’arbre et à l’eau de la vie et ceci
grâce au sacrifice de Jésus qui est
mort pour racheter l’humanité.
(Apocalypse 22 : 17)
LES
MORTS
RENDUS
À
LA
VIE
Comme nous l’avons déjà
brièvement indiqué, les bénédictions
ne seront pas uniquement accor-dées
aux humains qui vivront au moment de
l’établissement du Royaume de Christ.
En effet, Dieu a promis que, durant le
règne de Christ, tous les humains qui
se seront endormis dans la mort,
reviendront à la vie et que l’occasion
de profiter des bénédictions de Dieu
leur sera accordée. Si cela n’était
pas, le plan de salut de Dieu pour
l’humanité serait loin de manifester
l’amour de Dieu pour ses créatures.
L’espoir de la résurrection
des morts se trouve dans la mort de
Jésus. (I Corinthiens 15 : 21,22)
Durant son ministère sur terre, Jésus
a donné de nombreuses preuves du
pouvoir divin de rendre les hommes à
la vie. L’une de ces preuves est la
résurrection de Lazare. (Jean 11 : 1 à
44)
Lazare était le frère de
Marthe et de Marie. La famille vivait
à Béthanie. Lazare tomba malade alors
que Jésus était en Galilée ; une
région éloi-gnée de Béthanie. Les
sœurs envoyèrent un émissaire dire à
Jésus que leur frère était malade,
espérant probablement que Jésus se
rendrait rapidement à Béthanie. Mais,
Jésus attendit deux jours et dit
ensuite à ses disciples : « Lazare,
notre ami, s’est endormi, mais je vais
le réveiller de son sommeil. » Les
disciples crurent que Jésus parlait du
sommeil naturel de l’homme et dirent à
Jésus : « Seigneur, s’il s’est
endormi, il est sauvé ! » Les
disciples pensaient que le fait que
Lazare dorme prouvait qu’il allait
mieux.
LE
SOMMEIL
DE
LA
MORT
Jésus dit donc clairement à
ses disciples ce qu’il voulait dire et
leur répliqua : « Lazare est mort. » A
travers cette brève conversation, nous
trouvons l’une des vérités bibliques
fondamentales qui est que les morts ne
sont ni vivants ni en enfer ni au
purgatoire mais qu’ils sont dans un
état d’inconscience. La puissance
divine exercée par le Christ
réveillera les hommes endormis dans la
mort.
La mort, qui est entrée dans le monde
à cause de la transgression d’Adam,
aurait été permanente si l’amour de
Dieu n’avait offert un Rédempteur.
(Jean 3 : 16) Grâce à Jésus, qui a
pris la place d’Adam dans la mort ; et
a donc racheté en lui toute la race
humaine ; la destruction éternelle a
été changée en sommeil duquel nous
avons l’assurance qu’il y a un réveil.
A travers Lazare, nous avons la
démonstration de ce que fera la
puissance divine.
En une autre occasion, Jésus
dit également, concernant la
résurrection : « Ne vous en étonnez
pas, car l’heure vient où tous ceux
qui sont dans les tombeaux entendront
sa voix et sortiront, ceux qui auront
fait le bien pour une résurrection de
vie, ceux qui auront pratiqué le mal
pour une résurrection de jugement. »
(Jean 5 : 28,29) Jésus indique donc
que ceux qui dans cet âge ont « fait
le bien », selon les principes de
Dieu, seront réveillés de la mort et
recevront immédiatement la récompense
de la vie éternelle alors que ceux qui
ont «pratiqué la mal», connaîtront une
résurrection de jugement. Le terme
grec « krisis », traduit par «
juge-ment», a le sens de «crise».
L’humain incroyant qui traversera une
« crise » passera donc par des tests
de discipline destinés à lui enseigner
les voies du Seigneur. Si la « crise »
est traversée avec succès, et que les
humains apprennent à obéir aux lois du
Royaume, ils pourront jouir
gratuitement de l’eau de la vie et
vivre à jamais. (Apocalypse 22 :
17)
Fermez
les yeux, juste un moment, sur les
scènes de souffrance, de chagrin, de
dégradation et de peine qui dominent de
nos jours à cause du péché. Imaginez la
gloire d’une terre parfaite; sans péché
quicorrompe l’harmonie et la paix d’une
société parfaite. Là, il n’y a pas de
pensée amère, de regards durs, de
paroles désagréables car c’est
l’amourquidomine;un amour qui vient du
cœur et qui trouve un écho dans le cœur
de chacun imprégnant chaque acte de
bienveillance. La maladie n’existeplus;
les hommes ne sont plus en proie à la
douleur ou à la dégénérescence car cela
a disparu aussi. Les pleurs de ceux qui
ont perdu un être cher sont séchés car
ils se rendent compte que les morts
reviennent à la vie.
Pensez
aux modèles de santé et de beauté
humaines que vous connaissez maintenant;
l’être parfait les surpassera. La pureté
intérieure et la perfection mentale et
physique marqueront et glorifieront
chaque expression radieuse du visage. Ce
sera la société du Royaume de Dieu.
CE
QUE
LES ECRITURES ENSEIGNENT CLAIREMENT
Que l’Eglise est le « temple
du Dieu vivant », son ouvrage spécial,
dont la construction a progressé
durant tout l’âge de l’Evangile,
depuis que Christ devint Rédempteur du
monde et la principale pierre d’angle
de ce temple. C’est par ce temple,
lorsqu’il sera achevé, que les
bénédictions de Dieu seront répandues
sur toutes les familles de la terre
qui auront alors accès auprès de lui.
(1 Cor. 3 : 16,17 ; Eph. 2 : 20-22 ;
Gen. 28 : 14 ; Gal. 3 : 29)
En attendant, le perfectionnement des
consacrés croyant au sacrifice
expiatoire de Christ se poursuit.
Quand la dernière de ces pierres
vivantes, « élue et précieuse », aura
été taillée, façonnée et finie, le
grand architecte les réunira toutes
dans la première résurrection, le
temple resplendira alors de sa gloire
et sera, pendant le millénium, le
moyen de communion entre Dieu et les
hommes. (Apoc. 15 : 5-8)
Que la base de l’espérance de l’Eglise
et du monde repose sur le fait : « que
Jésus-Christ, par la grâce de Dieu,
souffrit la mort pour tous » et «
qu’au propre temps » il sera « la
vraie lumière qui éclaire tout homme
venant dans le monde. » (Héb. 2 : 9 ;
Jean 1 : 9 ; 1 Tim. 2 : 5,6)
Que l’espérance de l’Eglise est de
devenir semblable à son Seigneur, « le
voir tel qu’il est », de « participer
à sa nature divine » et d’avoir part à
sa gloire, comme cohéritière. (1 Jean
3 : 2 ; Jean 17 : 24 ; Rom. 8 : 17 ; 2
Pierre 1 : 4)
Que la présente mission de l’Eglise
est le perfectionnement des saints en
vue de leur oeuvre future, d’être le
témoin de Dieu auprès du monde,
préparer les membres pour être rois et
prêtres dans l’âge futur. (Eph. 4 : 12
; Matth. 24 : 14 ; Apoc. 1 : 6 ; 20 :
6)
Que l’espérance du monde réside dans
les bénédictions de la connaissance et
des occasions favorables fournies à
chacun pendant le règne de mille ans
de Christ. A tous ceux qui se montrent
obéissants et de bonne volonté, tout
ce qui fut perdu en Adam sera restitué
par le Rédempteur et son Eglise
glorifiée. Tous les méchants obstinés,
par contre, seront exterminés. (Actes
3 : 19-23 ; Esaïe 35)
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